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Par Lilouh dans Une prose s'impose ! le 13 Juin 2010 à 20:16Petit furoncle tu ne cesses de grandir, puisant ta force dans la haine à la merci du bourreau qui te fait souffrir. Tu ne comptes plus tes peines dont ton pue continue de se nourrir. Bien malgré toi tu mues en gangrène. Pourtant au bord de la septicémie, tu refuses de guérir....